Tratado 16 (I, 9) – DU SUICIDE (Bouillet)

Il ne faut pas séparer violemment l’âme du corps, mais attendre que les liens qui les unissent se rompent naturellement. Si par un acte illicite, on arrache l’âme du corps, elle conservera quelque chose du principe passif auquel elle était unie, et elle sera obligée de passer dans un nouveau corps.

D’ailleurs si le rang qu’on doit occuper là-haut dépend de l’état dans lequel on se trouve en quittant la terre, il ne faut pas sortir de la vie quand on peut encore faire des progrès.