Plotino – Tratado 44,3 (VI, 3, 3) — Classificação das qualidades sensíveis…

Igal

3 Digamos cómo hay que hacerla. Es posible, en primer lugar, concebirla de este modo: se da, por una parte, la materia, la forma y el compuesto de ambas, y por otra, los accesorios de esos tres. Pero los accesorios de esos tres, unos son meros predicados y otros accidentes, y de los accidentes, unos están en esos tres, en otros están esos tres, otros son acciones, otros pasiones y otros concomitantes.

Ahora bien, la materia es, sí, algo común y está en todas las sustancias, empero no es género, porque tampoco contiene diferencias, a menos que la diferenciemos atendiendo a que una materia tiene forma de fuego y otra de aire. Y si a alguno le basta, como nota común, el que haya materia en todas las cosas que existen o el que sea como un todo con respecto a sus partes, será género en un sentido distinto. El ser elemento, en fin, podría ser esa nota común si el elemento pudiera ser género. La forma, por otra parte, la distingue uno de las demás formas por el aditamento «aneja a la materia» o «en la materia», pero con ello no comprende, sin embargo, toda forma sustancial. Mas si por forma entendemos la causa productiva de la sustancia y la razón sustancial según la forma, con ello no hemos explicado todavía qué se debe entender por sustancia. Pero si sólo el compuesto de ambas es sustancia, entonces aquéllas no son sustancias. Mas si lo son tanto aquellas como el compuesto, habrá que examinar cuál es la nota común a los tres.

Los meros predicados, como ser causa o ser elemento, entrarán en la relación. De los accidentes que están en aquellos tres, el uno es cuantidad y el otro cualidad, las cuales están en aquellos. Hay otros accidentes en los que están aquellos, como son el lugar y el tiempo; otros son acciones y pasiones de los mismos, como los movimientos, y otros concomitantes, como el lugar y el tiempo, aquél de las cosas compuestas, y éste, el tiempo, del movimientos.

Ahora bien, aquellas tres cosas serían reductibles a una sola, si halláramos que la supuesta sustancia de acá era algo común a las tres. Vienen seguidamente los demás géneros: relación, cuantidad, cualidad, en el lugar, en el tiempo, movimiento, lugar y tiempo. Ahora bien, descartados el lugar y el tiempo, sobran «en el lugar» y «en el tiempo», con lo que resultan cinco, contando los tres primeros como uno solo. Mas si estos tres no son reductibles a uno solo, tendremos: materia, forma, compuesto, relación, cuantidad, cualidad y movimiento. O bien, estos últimos son reductibles a la relación, puesto que la relación abarca más.

Bouillet

III. Quelle division adopterons-nous donc? Il y a d’abord la matière, puis la forme, ensuite le composé qui résulte de leur ensemble, enfin les choses qui se rapportent aux trois précédentes et qui en sont affirmées, les unes simplement comme attributs, les autres en outre comme accidents; et parmi les accidents, les uns sont contenus dans ces choses, les autres les contiennent; les uns en sont des actions, les autres des passions ou des conséquences.

La matière est quelque chose de commun qui se trouve dans toutes les substances (10): elle ne forme cependant pas un genre parce qu’elle n’admet pas de différences, à moins que ses différences ne consistent à avoir ici la forme du feu, et là, celle de l’air. Si l’on croit que, pour constituer un genre, il suffise à la matière d’être ce qui est commun à toutes les choses dans lesquelles elle existe, ou bien d’être à l’égard des matières particulières dans le rapport du tout aux parties, on prend le terme de genre dans un autre sens que celui qu’il a ordinairement : ce sera alors un élément unique, en admettant qu’un élément puisse être un genre. Si l’on y ajoute la forme, de telle sorte qu’elle soit conçue comme unie à la matière ou étant en elle, la matière sera par là séparée des autres formes, mais elle ne comprendra pas toute forme substantielle. Si nous appelons forme le principe générateur de la substance, et raison substantielle la raison qui constitue la forme, nous n’aurons pas encore clairement déterminé ce qu’est l’essence ou la substance (οὐσία). Enfin, si l’on ne donne le nom de substance qu’au composé de la matière et de la forme, il en résultera que ces deux choses [la matière et la forme prises séparément] ne seront pas elles-mêmes des substances. Si l’on admet qu’elles en sont aussi bien que le composé, il faut alors examiner ce qu’il y a de commun entre les trois [la matière, la forme et le composé].

Quant aux choses qui sont simplement affirmées comme attributs, elles doivent être placées dans le genre de la relation, comme étant des principes ou des éléments. Parmi les accidents des choses, les uns sont contenus en elles, comme la quantité et la qualité ; les autres contiennent les choses, comme le lieu et le temps; puis, il y a les actions et les passions, comme les mouvements; puis les conséquences, comme être dans le lieu et être dans le temps : être dans le lieu est la conséquence du composé, et être dans le temps est la conséquence du mouvement.

Nous trouvons que les trois premières choses [la matière, la forme et le composé] concourent à former un seul genre, que nous appelons ici-bas par homonymie essence ou substance (οὐσία), genre qui leur est commun et dont le nom s’applique également à elles trois. Ensuite viennent les autres genres, la relation, la quantité, la qualité, la propriété d’être contenu dans le temps, celle d’être contenu dans le lieu, le mouvement, le lieu, le temps. Mais, comme en admettant le temps et le lieu, on n’a pas besoin d’ajouter la propriété d’être contenu dans le temps ni celle d’être contenu dans le lieu (11), on doit se borner à reconnaître cinq genres [1° substance, 2° quantité et qualité, 3° lieu et temps, 4° mouvement, 5° relation] puisque l’on compte la matière, la forme et le composé pour un seul genre [celui de la substance] (12).

Si l’on ne compte pas la matière, la forme elle composé pour un seul genre, on placera toutes ces choses dans l’ordre suivant : matière, forme, composé, relation, quantité, qualité, mouvement, ou bien on rapportera ces trois dernières choses [quantité, qualité, mouvement] à la relation parce que celle-ci a plus d’extension qu’elles.

Guthrie

PHYSICAL CATEGORIES ARE MATTER, FORM, COMBINATION, ATTRIBUTES AND ACCIDENTS.

3. What classification shall we adopt? There is first matter, then form, and further the combination which results from their blending. Then we have a number of conceptions which refer to the three preceding classes, and are predicated of them; the first, simply, as attributes; the others, besides, as accidents. Among the latter, some are contained within the things, while others contain them; some of them are actions, and the others experiences (passions) or their consequences.

THE THREE FIRST PHYSICAL CATEGORIES OF “MATTER, FORM AND COMBINATION.

Matter is something common which is found in all things; nevertheless it does not form a genus because it does not admit of any differences, unless its differences consist in appearing in different forms; as, here, fire, and there, air. Philosophers who consider that matter is a genus base this opinion on the fact that matter is common to all the things in which it exists, or that it stands in the relation of the whole to the parts of particular objects (or, “matters”). In this case, however, the term “genus” would be used in a sense differing from the one it bears usually. It would then be no more than an only or single element, if we admit that an element can be a genus. If, conceiving that matter is united to matter, or exists within it, we add form to matter, matter would thereby be differentiated from the other forms, but it will not comprehend every being-like form. Were we to call the generating principle of beingform,” and were we to call the reason which constitutes the form “being-like reason,” we shall not yet have clearly defined the nature of “being.” Finally, if we give the name of “being” only to the combination of matter and form, the result will be that neither of these two (matter or form taken separately) will themselves be “being.” If, however, we were to assert that not only their combination, but also each of them separately were “being,” we then would be faced with the problem of what is common to all three.

DIFFERENT PHYSICAL CATEGORIES.

As to the things which are simply posited as attributes, they should, as principles or elements, be classi fied under relation. Among the accidents of things, some, like quantity and quality, are contained within them; while others contain them, as time and place. Then there are actions and experiences, as movements; then their consequences, as “being in time,” and “being in place”; the latter is the consequence of the combination, the former is the consequence of movement.

FIVE PHYSICAL CATEGORIES.

We decide, therefore, that the three first things (matter, form, and their combination) contribute to the formation of a single genus, which, by a figure of speech, we call (“corporeal) Being,” a genus which is common to them, and whose name applies to all three. Then come the other genera; such as relation, quantity and quality; the (relation of) being “contained in place,” and “in time”; movement; and place and time. But as the category of “time” and “place” would render superfluous that of “being in place” and of “being in time,” we should limit ourselves to the recognition of five genera, of which the first (“being”) comprises matter, form and the combination. If, however, we should not count matter, form and combination as a single genus, our analysis will assume the following shape: matter, form, combination, relation, quantity, quality, and movement. Otherwise, the latter three might be subsumed under relation, which possesses more extension than they.

MacKenna

3. How then do we go to work?

Let us begin by distinguishing Matter, Form, the Mixture of both, and the Attributes of the Mixture. The Attributes may be subdivided into those which are mere predicates, and those serving also as accidents. The accidents may be either inclusive or included; they may, further, be classified as activities, experiences, consequents.

Matter will be found common to all substances, not however as a genus, since it has no differentiae – unless indeed differentiae be ascribed to it on the ground of its taking such various forms as fire and air.

It may be held that Matter is sufficiently constituted a genus by the fact that the things in which it appears hold it in common, or in that it presents itself as a whole of parts. In this sense Matter will indeed be a genus, though not in the accepted sense of the term. Matter, we may remark, is also a single element, if the element as such is able to constitute a genus.

Further, if to a Form be added the qualification “bound up with, involved in Matter,” Matter separates that Form from other Forms: it does not however embrace the whole of Substantial Form [as, to be the genus of Form, it must].

We may, again, regard Form as the creator of Substance and make the Reason-Principle of Substance dependent upon Form: yet we do not come thereby to an understanding of the nature of Substance.

We may, also, restrict Substance to the Composite. Matter and Form then cease to be substances. If they are Substance equally with the Composite, it remains to enquire what there is common to all three.

The “mere predicates” fall under the category of Relation: such are cause and element. The accidents included in the composite substances ire found to be either Quality or Quantity; those which are inclusive are of the nature of Space and Time. Activities and experiences comprise Motions; consequents Space and Time, which are consequents respectively of the Composites and of Motion.

The first three entities [Matter, Form, Composite] go, as we have discovered, to make a single common genus, the Sensible counterpart of Substance. Then follow in order Relation, Quantity, Quality, Time-during-which, Place-in-which, Motion; though, with Time and Space already included [under Relation], Time-during-which and Place-in-which become superfluous.

Thus we have five genera, counting the first three entities as one. If the first three are not massed into a unity, the series will be Matter, Form, Composite, Relation, Quantity, Quality, Motion. The last three may, again, be included in Relation, which is capable of bearing this wider extension.