gr. zôon: ser vivo, animal. Segundo Pierre Hadot, a tradução de zoon é problemática posto que o termo se aplica a animais, homens, deuses, sem cobrir o campo do vivente (exclui as plantas). Vide bios.



Heidegger

Ζωή is a type of living that is there in an active mode, such that this being-there lives genuinely in concern, so that it has its τέλος in such a way that it brings the being-there of the human being to its genuine end. [Heidegger, GA18:103]


Aubry

7. En grec : « Τί τὸ ζῷον καὶ τίς ό ἄνθρωπος ». Ici comme ailleurs, la traduction de zôon pose problème puisque ce terme ne s’applique pas seulement aux espèces animales (il s’étend aux hommes et aux dieux), sans pour autant couvrir tout le champ du vivant (il exclut les plantes) : cf. F. Wolff : « L’animal et le dieu : deux modèles pour l’homme », dans L’Etre, l’homme, le disciple, Paris, PUF, 2000. J’ai cependant choisi de conserver la traduction classique, et celle, aussi, qu’adopte Bréhier, par « animal », du fait de la prédominance de la problématique éthique : il s’agit pour Plotin de distinguer ce qui, en l’homme, est proprement humain du bestial, d’une part, et du divin, de l’autre. Au terme de zôon se substituera d’ailleurs celui de « θηρίον », qui, lui, qualifie proprement l’animal féroce ou sauvage, la « bête » (7, 21). [Aubry]



LÉXICO: ;