- LIVRE PREMIER : Le Livre premier conduit jusqu’à Dieu
- Ch. I — Si l’âme n’était pas immortelle, l’homme serait la plus malheureuse des créatures
- Ch. II — Le corps par nature ne fait rien
- Ch. III — Au-dessus de la forme divisée dans le corps, il y a une forme indivisible : l’âme
- Ch. IV — L’âme rationnelle est immobile par sa substance, mobile par son opération, en partie immobile et en partie mobile par sa puissance
- Ch. V — Au-dessus de l’âme qui change il y a l’ange immuable
- Ch. VI — Au-dessus de l’ange il y a Dieu, parce que l’âme est une multiplicité mobile, l’ange une multiplicité immobile, Dieu l’unité immobile
- LIVRE DEUXIÈME: Le Livre deuxième traite de Dieu précédemment trouvé.
- Ch. I — Unité, Vérité, Bonté sont une même chose et il n’y a rien au-dessus
- Ch. II — Il n’y a pas plusieurs dieux, égaux entre eux
- Ch. III — Il n’y a pas plusieurs dieux, supérieurs les uns aux autres à l’infini
- Ch. IV — La puissance de Dieu est infinie
- Ch. V — Dieu est toujours
- Ch. VI — Dieu est partout
- Ch. VII — Dieu meut et conserve toutes choses, il opère tout en tout
- Ch. VIII — C’est par son être que Dieu fait tout ce qu’il fait
- Ch. IX — Dieu se comprend lui-même en premier lieu ; il comprend aussi chaque chose en particulier
- Ch. X — Dieu comprend l’infini
- Ch. XI — Dieu est doué de volonté et c’est par elle qu’il opère en dehors de lui
- Ch. XII — La volonté de Dieu est en même temps nécessaire et libre et elle agit librement
- Ch. XIII — Dieu aime et prend soin de ses créatures
- LIVRE TROISIÈME: Le Livre troisième nous fait redescendre à partir de Dieu et comparer entre eux les différents degrés d’être par rapport à leur degré intermédiaire et ce degré par rapport aux autres.
- Ch. I — Descente par les cinq degrés par lesquels s’est faite l’ascension. Comparaison de ces degrés entre eux
- Ch. II — L’âme est le degré intermédiaire des êtres ; elle établit un lien d’unité entre tous les degrés supérieurs et inférieurs, en s’élevant vers les degrés supérieurs et en descendant vers les degrés inférieurs
- LIVRE QUATRIÈME: Le Livre quatrième subdivise le degré d’être intermédiaire c’est-à-dire l’âme, en ses espèces.
- Ch. I — Les âmes raisonnables se répartissent en trois degrés : le premier, celui de l’âme du monde, le deuxième celui de l’âme des sphères, le troisième celui des âmes des êtres vivants contenues dans chacune de ces sphères
- Ch. II — Les âmes des sphères donnent le mouvement aux sphères suivant une loi fatale et ce mouvement est circulaire, parce qu’elles sont elles-mêmes des cercles
- LIVRE CINQUIÈME: Le Livre cinquième traite de l’immortalité de l’âme par des arguments communs.
- Ch. I — Toute âme raisonnable est immortelle. Première raison : Elle se meut par elle-même et d’un mouvement circulaire
- Ch. II — Deuxième raison. Toute âme raisonnable demeure stable dans sa substance
- Ch. III — Troisième raison. Toute âme raisonnable adhère au divin
- Ch. IV — Quatrième raison. Toute âme raisonnable domine la matière
- Ch. V — Cinquième raison. Toute âme raisonnable est indépendante de la matière
- Ch. VI — Sixième raison. Toute âme raisonnable est indivisible
- Ch. VII — Septième raison. Toute âme raisonnable a son existence dans son essence
- Ch. VIII — Huitième raison. Toute âme raisonnable a une existence propre et ne s’éloigne jamais de sa forme
- Ch. IX — Neuvième raison. A toute âme raisonnable il convient d’exister par soi
- Ch. X — Dixième raison. Toute âme raisonnable par elle-même se réfère à Dieu
- Ch. XI — Onzième raison. L’âme raisonnable n’est pas composée d’une puissance en laquelle elle pourrait se dissoudre.
- Ch. XII — Douzième raison. L’âme raisonnable n’a pas en elle-même de puissance au non-être
- Ch. XIII — Treizième raison. Toute âme raisonnable reçoit de Dieu l’être, sans intermédiaire
- Ch. XIV — Quatorzième raison. Par elle-même toute âme raisonnable est vie
- Ch. XV — Quinzième raison. La vie de l’âme raisonnable est supérieure à celle du corps
- LIVRE SIXIÈME: Le Livre sixième traite de l’immortalité de rame par des arguments particuliers. Sa vie végétative prouve qu’elle est indivisible.
- Ch. I — Les opinions sur l’âme se ramène à cinq principales.
- Ch. II — Ce sont des philosophes du commun qui, sans conviction raisonnée, mais victimes d’une funeste habitude, affirmèrent que l’âme est un corps
- Ch. III — L’âme n’est ni un corps ni une forme divisée dans un corps, comme le prouve la puissance naturelle de l’âme.
- Ch. IV — Première raison. L’âme est le principe de la nutrition et de toute autre opération
- Ch. V. — Deuxième raison. L’âme n’est ni un corps animé, ni un corps inanimé
- Ch. VI — Troisième raison. L’âme n’est ni un corps dense, ni un corps léger
- Ch. VII — Quatrième raison. Un corps est composé de matière et de forme
- Ch. VIII — Cinquième raison. Un corps par nature est étendu
- Ch. IX — Sixième raison. Deux corps ne peuvent être dans un même lieu
- Ch. X — Septième raison. Un corps n’est pas tout entier en plusieurs en même temps
- Ch. XI — Huitième raison. L’âme est vie ou source de vie
- Ch. XII — Neuvième raison. Un corps ne se meut pas de lui-même
- Ch. XIII — La croissance de l’âme est indépendante du développement du corps
- LIVRE SEPTIÈME: Sa vie sensitive prouve que rame est indivisible.
- Ch. I — L’âme n’est pas ni corps ni une forme divisée dans un corps ni un point d’une telle forme. Elle est une forme toute entière dans chaque partie du corps comme le prouve sa puissance sensitive. Première raison. Le corps ne saisit pas les images sensibles
- Ch. II — Deuxième raison. Il faut que les cinq sens convergent vers un centre unique
- Ch. III — Troisième raison. Plus un sens est réduit, plus il est pénétrant
- Ch. IV — Quatrième raison. Si le sens est divisible, l’image sensible en lui sera divisée
- Ch. V — Cinquième raison. L’âme sent partout tout entière
- Ch. VI — Sixième raison. L’âme ne pâtit pas nécessairement quand elle sent
- Ch. VII — Septième raison. Preuves particulières par la puissance naturelle et sensitive de l’âme. L’âme n’est pas divisible, parce que l’œuvre de la qualité est une
- Ch. VIII — Huitième raison. Le tempérament agit par la puissance des qualités
- Ch. IX — Neuvième raison. Le tempérament est une forme accidentelle
- Ch. X — Dixième-* raison.-* L’harmonie-* d’un-* tempérament n’exerce aucune action sur le corps
- Ch. XI — Onzième raison. En tout corps composé il y a une harmonie
- Ch. XII — Douzième raison. On entend par harmonie ou la composition des membres ou la raison de cette composition
- Ch. XIII — Treizième raison. L’harmonie des humeurs ne saisit rien indépendamment de la matière
- Ch. XIV — Quatorzième raison. Plus il y a accord, plus il y a harmonie
- Ch. XV — Quinzième raison.-* L’harmonie n’admet-* aucune dissonance
- LIVRE HUITIÈME: Sa vie intellective prouve que l’âme est indivisible et en conséquence qu’elle est immortelle.
- Ch. I — L’âme est une forme indivisible partout tout entière et elle ne tire pas son origine de la matière, par conséquent elle est immortelle, comme le montre sa puissance d’intellection. Première raison. L’ascension de l’âme à l’esprit se fait par quatre degré?
- Ch. II — Deuxième raison. La vérité est la nourriture de l’âme
- Ch. III — Troisième raison. La vertu de l’âme, parce qu’elle est indivisible, ne peut être une qualité du corps
- Ch. IV — Quatrième raison. L’espèce et l’idée intelligibles ne peuvent être reçues par un corps
- Ch. V — Cinquième raison. Si l’intelligence est un corps, elle comprend en touchant et en parcourant
- Ch. VI — Sixième raison. L’intellect reçoit ce qu’il comprend dans sa totalité ; ce qu’il ne ferait pas s’il était corporel.
- Ch. VII — Septième raison. En recevant les formes des objets, l’intellect ne perd pas la sienne propre ; c’est le contraire pour les corps
- Ch. VIII — Huitième raison. Dans l’intelligence la forme est universelle. Elle ne peut être telle dans un corps
- Ch. IX — Neuvième raison. Les intelligences se contiennent mutuellement ; les corps en aucune façon
- Ch. X — Dixième raison. L’intelligence opère à travers tous les corps et au-dessus des corps-
- Ch. XI — Onzième raison. L’intelligence s’améliore dans le repos, le corps par le mouvement
- Ch. XII — Douzième raison. Les contraires dans la matière ne sont pas contraires dans l’intelligence
- Ch. XIII — Treizième raison. En recevant les formes l’intelligence ne change pas
- Ch. XIV — Quatorzième raison. L’opération du corps tend au composé ; celle de l’âme au simple
- Ch. XV — Quinzième raison. L’action de l’intelligence s’achève dans l’action, l’action du corps dans le corps
- Ch. XVI — Seizième raison. La forme corporelle ne possède pas une puissance infinie ; l’intelligence, elle, en possède une
- LIVRE NEUVIÈME: Que l’âme est immortelle, non seulement parce qu’elle est indivisible, mais aussi parce qu’elle ne dépend pas du corps.
- Ch. I. — Preuve par la puissance rationnelle non seulement que l’âme est une forme indivisible, mais encore qu’elle ne dépend pas du corps, afin de démontrer plus clairement son immortalité. Premier argument : L’intelligence se replie sur elle-même
- Ch. II. — Deuxième argument : Plus l’intelligence est séparée du corps, mieux elle s’en trouve
- Ch. III. — Troisième argument : L’intelligence s’oppose au corps
- Ch. IV. — Quatrième argument : L’âme agit librement
- Ch. V. — Cinquième argument : L’âme agit sans le corps
- Ch. VI. — Sixième argument : L’âme s’accorde en partie avec les êtres divins, en partie avec les animaux
- Ch. VII. — Objection des Epicuriens et réponse. De l’équilibre des choses
- LIVRE DIXIÈME: Que l’âme est immortelle. Preuve par l’ordre des choses.
- Ch. I. — Premier argument : De même que le dernier dans l’ordre des corps est incorruptible, ainsi le dernier dans l’ordre des intelligences
- Ch. II. — Objection d’Epicure et réponse : De l’enchaînement des choses
- Ch. III. — Deuxième argument : De même que l’ordre naturel aboutit à la matière première immortelle, de même il aboutit à la forme ultime immortelle
- Ch. IV. — Objection d’Epicure et réponse. Des formes les plus semblables à Dieu
- Ch. V. — Réponse plus explicite sur les degrés des formes
- Ch. VI. — Objection de Lucrèce et réponse. L’intelligence peut opérer indépendamment du corps
- Ch. VII. — Objection d’Epicure et réponse. Dieu ne crée l’âme que de lui-même et par lui-même
- Ch. VTII. — Objection de Panétius et réponse. L’âme vient de Dieu sans intermédiaire
- Ch. IX. — Troisième argument : Tel est l’objet, telle est la puissance
- LIVRE ONZIÈME: Que l’âme est immortelle en tant qu’elle est unie aux objets éternels et reçoit de ce fait des espèces indépendantes de la matière.
- Ch. I. — Premier argument : L’intelligence est unie à un objet éternel. Elle reçoit des espèces pures et des raisons éternelles
- Ch. II. — Objection des Epicuriens et réponse. De l’union de l’intelligence avec-* les espèces pures et les raisons éternelles
- Ch. III. — Objection d’Epicure et réponse. Les espèces sont innées dans l’intelligence
- Ch. IV. — Confirmation de ce qui précède et, en outre, des idées
- Ch. V. — Confirmation de ce qui précède au moyen des signes
- Ch. VI. — Deuxième argument : L’intelligence est le sujet de la vérité éternelle
- Ch. VII. — Objection des Sceptiques et réponse. On connaît quelque chose de certain
- Ch. VIII. — Objection des Péripatéticiens et réponse. Que la vérité a dans l’âme sa demeure particulière
- LIVRE DOUZIÈME: Que l’âme est immortelle, parce qu’elle est formée par l’intelligence divine.
- Ch. I. — Nombreux arguments et indices qui prouvent que dans l’intellection l’intelligence humaine est informée par l’intelligence divine
- Ch. II. — Première question : De l’ascension vers Dieu. Comment l’intelligence s’élève-t-elle à l’idée divine ?
- Ch. III. — Deuxième question : Pourquoi dans cet état n’avons-nous pas conscience de voir Dieu ?
- Ch. IV. — Troisième question : Comment sans interruption Dieu infuse-t-il en nous cette intellection ?
- Ch. V. — Première confirmation de la preuve précédente. Par la vue
- Ch. VI. — Deuxième confirmation. Par l’ouïe, d’après Augustin
- Ch. VII. — Troisième confirmation, d’après Augustin. Par l’intelligence
- LIVRE TREIZIÈME: Quatre signes de l’immortalité de l’âme : Les affections de la fantaisie, les affections de la raison, les arts et les miracles.
- Ch. I. — Dans quelle mesure l’âme commande aux corps. Démonstration par de nombreux signes et premièrement par les affections de la fantasie
- Ch. II. — Deuxième indice : Les affections de la raison :
- Les philosophes
- Les poètes
- Les prêtres
- Les devins et les prophètes
- Les sept genres de vacance de l’âme
- Ch. III. — Troisième indice : La pratique des arts et du gouvernement. Les quatre qualités de l’homme dans les arts
- Ch. IV. — Quatrième indice : L’accomplissent des miracles
- Ch. V. — Six questions sur les miracles et leur solution
- LIVRE QUATORZIÈME: Que l’âme est immortelle, du fait qu’elle s’efforce d’acquérir les douze attributs de Dieu.
- Ch. I. — L’âme aspire à devenir Dieu. Nous le montrons au moyen de douze signes correspondant aux douze attributs de Dieu
- Ch. II. — Cinquième signe d’immortalité. L’âme aspire à la vérité première et au bien premier
- Ch. III. — Sixième signe. L’âme tend à devenir toutes choses
- Ch. IV. — Septième et huitième signes. L’âme s’efforce de faire tout et de dominer tout
- Ch. V. — Neuvième et dixième signes. L’homme désire être partout et toujours
- Ch. VI. — Onzième, douzième, treizième et quatorzième signes. Nous désirons acquérir quatre puissances de Dieu
- Ch. VII. — Quinzième signe. L’âme convoite le plus haut degré de richesse et de plaisir
- Ch. VIII. — Seizième signe. Nous nous vénérons nous-mêmes comme nous vénérons Dieu
- Ch. IX. — Le sentiment religieux est, dans le genre humain, celui qui, plus que tous les autres, lui appartient en propre et soit incontestable
- Ch. X. — Trois objections des disciples de Lucrèce et leur solution :
- Première objection
- Deuxième objection
- Troisième objection
- LIVRE QUINZIÈME : Solution des objections d’Averroès sur l’intellect. Cinq questions sur l’âme
- Ch. I — Première question : N’y a-t-ïl qtCim intellect unique pour tous les hommes ? — Non
- Ch. II — Réfutation d’Averroès — L’intelligence est forme du corps. L’ordre de la nature le montre avec évidence
- Ch. III — Comment l’intelligence entre en contact avec le corps
- Ch. IV — Comment l’intelligence est présente au corps
- Ch. V — Comment l’intelligence est dans le corps
- Ch. VI — L’intelligence est forme du corps. Les opinions et les actions humaines le montrent clairement. Premier argument. L’homme est un animal raisonnable
- Ch. VII — Deuxième argument. L’homme comprend
- Ch. VIII — Troisième argument. L’homme se meut librement
- Ch. IX. — Quatrième argument. Les puissances de l’âme, tantôt se neutralisent, tantôt se stimulent mutuellement
- Ch. X — Cinquième argument. L’intelligence séparée n’a pas besoin de la fantaisie
- Ch. XI — L’intellect agent et l’intellect possible sont dans l’âme une seule puissance
- Ch. XII — Réponse aux arguments d’Averroès. De l’intelligence séparée
- Cli. XIII — Réfutation des arguments d’Averroès. De l’intelligence unique
- Ch. XIV — Signes montrant qu’il n’y a pas d’intelligence unique
- Ch. XV — Raisons qui prouvent que l’intelligence n’est pas unique. Première raison. Sept conséquences qui en découlent sont inutiles
- Ch. XVI — Deuxième raison. L’intelligence conserve les espèces et doit les posséder toutes depuis longtemps
- Ch. XVII — Troisième raison. Chaque fois que deux sujets comprennent la même chose on aboutit à des conséquences absurdes
- Ch. XVIII — Quatrième raison. Ou bien la science sera la même dans une multitude d’hommes ou bien il y aura dans les mêmes hommes des qualités inutiles
- Ch. XIX — Cinquième raison. Il y aurait des contradictoires dans le même sujet
- LIVRE SEIZIÈME : Solution des objections des Epicuriens
- Ch. I— Deuxième question : Pourquoi les âmes sont-elles enfermées dans des corps terrestres ? Première raison. Pour pouvoir connaître les êtres singuliers
- Ch. II — Deuxième raison. Pour unir les formes particulières aux formes universelles
- Ch. III — Troisième raison. Pour que le rayon divin comme ses formules se réfléchissent en Dieu
- Ch. IV — Quatrième raison. Pour rendre l’âme plus heureuse.
- Ch. V — Cinquième raison. Pour que les puissances inférieures de l’âme passent à l’acte
- Ch. VI — Sixième raison. Pour que le monde soit embelli et Dieu honoré
- Ch. VII — Troisième question : Si les âmes sont divines pourquoi sont-elles si troublées ?
- Ch. VIII — Quatrième question : Pourquoi les âmes s”éloignent-elles des corps à regret ?
- LIVRE DIX-SEPTIÈME
- Ch. I — Cinquième question : Quelle était la condition de l’âme avant son entrée dans le corps et quelle sera-t-elle après qu’elle en sera sortie ?
- Ch. II — Exposé de Platon sur l’âme selon les deux dernières Académies. De la composition de l’âme
- Ch. III — Les espèces et les circuits des âmes, toujours selon les deux dernières Académies
- Ch. IV — Interprétation plus correcte de Platon, selon les quatre dernières Académies, surtout selon la première et la quatrième
- LIVRE DIX-HUITIÈME : Opinion sur l’âme, admise par tous les théologiens
- Ch. I — Platon n’interdit pas d’ajouter foi à la théologie, commune aux Juifs, aux Chrétiens et aux Arabes, qui admet que le monde a été créé
- Ch. II — Les anges et les âmes n’ont pas toujours existé
- Ch. III — Les âmes sont créées chaque jour
- Ch. IV — D’où vient l’âme quand elle descend dans le corps
- Ch. V — Dans quelle partie du ciel îles âmes sont-elles créées et de quelle partie descendent-elles ?
- Ch. VI — Quand l’âme est-elle unie au corps et quel est son guide pendant son existence corporelle ?
- Ch. VII — Par quel côté l’âme entre-t-elle dans le corps ? Par quel côté en sort-elle ? En compagnie de quel guide avance-t-elle ?
- Ch. VIII
- 1. Condition de l’âme pure surtout d’après les Platoniciens
- 2. Les neufs degrés dans la patrie
- 3. De la condition de l’âme pure, suivant les théologiens chrétiens en particulier
- 4. Comment l’intelligence est unie à Dieu
- 5. Toutes les espèces d’intelligences peuvent s’unir à Dieu
- 6. Dans la patrie, il y a différentes catégories d’intelligences, mais toutes voient tout ce qui est crée
- 7. Condition immuable de l’âme auprès de Dieu
- 8. En Dieu, chacun est satisfait
- Ch. IX — Du corps des bienheureux
- Ch. X — Condition de l’âme impure. De la condition intermédiaire des âmes, surtout d’après les philosophes