Tag: Émile Chambry
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Platão – Obras
Segundo o filósofo Jean Brun… O filósofo que deseja estudar o pensamento dos pré-socráticos, o dos estoicos ou o dos epicuristas depara com o problema da ausência quase total de textos e limita-se a estudar as citações ou os fragmentos transcritos pelos autores posteriores. Com Platão, Aristóteles e Plotino, estamos frente a um problema de…
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Chambry: Hippias Mineur 368a-369a – Hippias cientista e técnico enciclopédico
SOCRATE: X. — Allons, Hippias, fais ainsi à loisir la revue de toutes les sciences et vois s’il n’en est pas de même pour toutes. Tu es certainement l’homme le plus habile du monde dans la plupart des arts. Ne t’ai-je pas entendu autrefois t’en vanter, en énumérant tes multiples et enviables talents sur l’agora…
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Chambry: Hippias Mineur 366c-368a – Exemplos das competências de Hipias
SOCRATE: VII. — Dis-moi, Hippias, n’es-tu pas expert en matière de chiffres et de calcul ? HIPPIAS: Plus que personne au monde, Socrate. SOCRATE: Si donc on te demandait quel nombre font trois fois sept cents, tu donnerais, si tu voulais, le vrai produit plus vite et mieux que personne ? HIPPIAS: Certainement. SOCRATE: N’est-ce…
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Chambry: Hippias Mineur 366a-366c – Falar falso só pertence àquele que sabe o verdadeiro
SOCRATE: VI. — Arrête un moment : remémorons-nous quelle est ta pensée. Tu dis que les menteurs [pseudos] sont des gens capables, intelligents, savants et habiles aux choses sur lesquelles ils sont menteurs ? HIPPIAS: Je le dis en effet. SOCRATE: Et que les gens véridiques [aletheia] et les menteurs [pseudos] sont différents et opposés…
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Chambry: La République X 614a-621d — Descida aos Infernos. O Mito de Er
— Pourtant ces choses-là, dis-je, ne sont rien, pour le nombre et pour la grandeur, en comparaison de celles qui attendent l’un et l’autre de nos personnages une fois qu’ils auront terminé leur vie. Et il faut entendre cela, si l’on veut que chacun d’eux ait reçu complètement ce que l’argument lui devait. — Voudrais-tu…
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Chambry: La République X 608c-614a — Imortalidade da Alma
c — Et cependant, dis-je, nous n’avons pas exposé ce que sont les récompenses les plus importantes que rapporte l’excellence, ni les prix qui sont proposés pour elle. Tu parles sans aucun doute d’un ordre de grandeur inimaginable, dit-il, si ces récompenses sont supérieures à celles que nous avons dites ! — Mais, dis-je, qu’est-ce…
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Chambry: La République X 595a-608b — Poesia e Imitação
595 — Eh bien, dis-je, j’ai sans doute nombre de raisons, quand je pense à la cité, de considérer que nous l’avons fondée le plus correctement du monde, mais j’en ai surtout quand j’envisage la question de la création poé- tique. — Sur quel point en particulier ! dit-il. — Notre refus de tout ce…
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Chambry: La République IX 588a-592b — Efeitos da justiça e da injustiça
— Eh bien soit, dis-je. Puisque nous en sommes arrivés à ce point b du dialogue, reprenons ce qui avait été dit au début, et qui nous a menés jusqu’ici. Il avait été dit, n’est-ce pas , qu’il était avantageux de commettre l’injustice, quand on était un homme parfaitement injuste mais qui avait la réputation…
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Chambry: La République IX 576b-588a — A questão da felicidade
— Est-ce qu’alors, dis-je, celui qui paraît être le plus méchant paraîtra aussi être c le plus malheureux ? Et celui qui aura exercé la tyrannie le plus longtemps et avec le plus d’intensité, aura-t-il été véritablement malheureux avec le plus d’intensité et le plus longtemps ? La masse, elle, a là-dessus une masse d’avis.…
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Chambry: La République IX 571a-576b — Psicologia do desejo
571 — Celui qui reste dès lors à examiner, dis-je, c’est l’homme tyrannique lui-même : par quelle transformation il provient de l’homme démocratique ; une fois né, quel genre d’homme il est ; et quel genre de vie il mène, malheureuse ou bienheureuse — Oui, en effet, c’est lui qui reste encore, dit-il. — Or…